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Textes

Anne-Marie Albiach Del negro al blanco

 

Anne-Marie Albiach

 

albiach

 

Del NEGRO al BLANCO la respiración del cuerpo


El margen: la hoja externa o central corta el espacio entre las masas Monocromas. Soporte: la desigualdad de las incisiones juega con el reflejo probable. Una línea divide la otra, y la transparencia cae dentro de la falla del blanco lateral. La distancia produce la dimensión de un espejo, hacia su cavidad el equilibrio se rompe; respiración interna y en torno, el cuerpo de las estructuras, la huella vertical como abertura de la línea: irregularidades de una recta perpetuada que anuncian el BLANCO o el NEGRO y su mobilidad adjunta.

 

 

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Alain Veinstein…dans les triptyques

Alain Veinstein

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... dans les triptyques par exemple, Raquel réitère un espace de vacuité (comme pour mettre l'accent sur son étendue), peint l'arrêt du travail à s'en démettre la main.

La réitération, ce travail noir, n'est pas la répétition. Trois coups: trois figures: c'est arrivé: il n'est plus temps. L'espace de la séparation a été attaqué. Les lignes brisées indiquent que la représentation elle-même a eu lieu. Ce qui arrive se place après dans l'espace et le temps et derrière toute histoire.

Cette peinture : postface, post-scriptum sans fin d'une histoire dont nous ignorons jusqu'au premier mot.

 

 

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Jacques Sojcher. Noir ou blanc…

Jacques Sojcher

  Jacques Sojcher

Noir ou blanc et marge et très léger déséquilibre (de quoi respirer soudain) ou bleu ou brun – l’espace accepte la couleur et la non-couleur. C’est au-delà, en deçà, soudain. Qu’importent les références (à Rothko, à Newman). Or c’est le rouge et blanc et noir. La déchirure, le livre déchiré (le partage, cette démesure). Un désir de toucher à distance, comme si le nom (Raquel) était le signe physique de la visibilité. Car c’est. Et le regard déborde. Alors revenir à l’œil, à ce qui déchire et exalte l’espacement, à la ligne et à la surface, à la mise en page savante, à l’évidence de la peinture.

 

 

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Claude Royet-Journoud. Il y a bien narration…

  

Claude Royet-Journoud

royet journoud

 

Il y a bien narration…

Force du neutre. Espace que l’œil perçoit dans le manque. On jette un voile. On inachève. Le corps ici, et sa fonction. Délit de mémoire ! La narration nous abandonne à une scène sans emploi. Elle se lie verticalement au sens et dédouble son ombre.

 

 

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Bernard Noël…derrière la surface

  

Bernard Noël

noel

 

 

... derrière la surface: le lieu du travail. On ne le voit pas. Seul paraît le plissement de la respiration.

... souffle et silence: il faut que l'oeil entende et que les circuits de l'expression échangent leurs orifices.

... Raquel: nom pour nommer l'activité du bord, où l'extrême prend peau. 

 

 

 

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